Héraclès
C’est la dernière pièce de Wedekind, écrite pendant la Première Guerre mondiale. « L’Héraklès d’Euripide comme drame de la psychose du combattant revenu de guerre » : c’est la piste suggérée par Wedekind lui-même. Les récits de la mythologie grecque, avec leur cortège de crimes et de hauts-faits, sont ordonnés en onze stations scandant la passion du sauvage en route vers son humanité.
Un péplum sublimé pour dire la tragédie de l’homme moderne.