Dans Sweet Summer Sweat, il compose une variation autour du couple, d’un couple. Ou plutôt d’un binôme fantasmé qui se joue autant qu’il se vit. En sept séquences, indépendantes mais liées par le sort de Lou et Franck qui changent d’âge et de situations, l’auteur invente un théâtre en perpétuel mouvement, pour deux acteurs mouvants.
L’Autre Chemin est celui de la mémoire. Comme si un texte d’une grande force poétique avait été dispersé par une bourrasque, lecteur et acteur sont invités à reconstituer un puzzle fait de morceaux de récits sensuels, sensoriels, mystiques.
Autre facette du brio de Contamin : l’objet théâtral et littéraire non identifié, enivrant et mystérieux.
