Un sacre
Neuf personnes racontent la disparition d’un proche qui les a particulièrement marquées. Pour habiter leur absence et conjurer le vide, ils et elles inventent une cérémonie consolatrice où le rite, la transgression et le rire sont autant de moyens de célébrer l’existence.
Dans la presse
"Guillaume Poix a pris soin de toutes ces paroles recueillies, mais ne
s’est pas enfermé dans une retranscription, il a créé une distance, un
espace, le théâtre est devenu en quelque sorte le lieu permettant de
prendre soin du chagrin."
"[Un texte] très fort, [qui] questionne chacun de nous, puisque nous sommes
tous mortels et que tous, nous sommes un jour ou l’autre confrontés au
départ d’un être aimé."