Petites pièces d'auteurs 2
                    
        
                            
        
                    
                Après le succès du premier recueil consacré à des auteurs de l’hexagone, voici une deuxième série de petites pièces en grande partie venues d’ailleurs. Qu’ils écrivent du théâtre à Sidney, Los Angeles, Buenos-Aires, Londres, Montevideo, Manchester, Bruxelles ou à Saint-Brieuc et Paris, ces auteurs ont tous en commun le souci de la théâtralité. Ils nous adressent un message d’espoir, témoignage poétique sur un monde en mutation. Certains sont déjà connus en France, d’autres publiés pour la première fois. Ils proposent à tous, lecteurs ou spectateurs, de voyager sur les scènes métissées de leur imaginaire.
             
        
        
        
        
        
            
            
            
            
        
        
            
        
        
                            
                                            Soutiens
                        
                                                            - Ouvrage publié avec le concours du Centre national du livre
 
                            
                        
                    
                    
                 
            
         
                
            
                
                
                
                                    
                                                    Détail des textes présents dans ce livre
                                                                            
                                                                    
                                
                                Je suis rentrée à la maison, directement, comme une pouliche, les yeux qui regardaient que ma rue, la porte de chez moi, j'ai comme poussé ma porte et il était là. 
 
                                
                                
                                
                                
                                
                                                                    
                                
                             
                                                    
                                                                    
                                
                                Les dalles de la place Tienanmen à Pékin sont rectangulaires. Tâchées. Striées. Des millions de pieds les ont marquées. Des millions de sandales. Des corps. 
 
                                
                                
                                
                                
                                
                                                                    
                                
                             
                                                    
                                                                    
                                                                                
                                                                                avis aux intéressés
                                                                                    
                                                                                    
                                                 Texte original en anglais traduit  en français par
                                                                                                    
                                                                                             
                                                                                
                                     
                                
                                
« 1
à la maison
jour
le père est assis seul à la table de la cuisine
– Tu t'es réveillé pendant que j'étais parti ? Je t'avais dit où je serais tu t'es souvenu ? Il fallait que j'y sois de bonne heure je me suis pas levé d'aussi bonne heure depuis le temps où je travaillais tu te souviens de quand je travaillais ? »
                                
                                     Ce texte figure également dans les éditions suivantes :
                                        
                                     
                                
                                
                                
                                
                                
                                                                    
                                
                             
                                                    
                                                                    
                                                                                
                                                                                La neige ne fait pas de bruit quand elle tombe du ciel
                                                                                    
                                                                                
                                     
                                
                                Je suis un homme pour qui le monde extérieur est une réalité intérieure. Pessoa 
                                
                                
                                
                                
                                
                                                                    
                                
                             
                                                    
                                                                    
                                                                                
                                                                                Les Nigauds
                                                                                    
                                                                                    
                                                 Texte original en espagnol traduit  en français par
                                                                                                    
                                                                                             
                                                                                
                                     
                                
                                Atmosphère de printemps. On entend les oiseaux. Ké et Kou entrent en scène. Ké traîne Kou et traîne aussi leurs sacs. 
 
                                
                                
                                
                                
                                
                                                                    
                                
                             
                                                    
                                                                    
                                
                                Dans une salle des fêtes, l'association " les veuves de guerre " se réunissent. 
                                
                                
                                
                                
                                
                                                                    
                                
                             
                                                    
                                                                    
                                                                                
                                                                                Un monologue
                                                                                    
                                                                                    
                                                 Texte original en anglais traduit  en français par
                                                                                                    
                                                                                             
                                                                                
                                     
                                
                                
L'ironie perce sous le discours poussiéreux de ce Monologue, à l'aube du nouveau millénaire, atténue quelque peu son pessimisme patent. 
Gregory Motton nous livre là, sans détour, un regard caustique et critique sur la société d'aujourd'hui.
 
                                
                                     Ce texte figure également dans les éditions suivantes :
                                        
                                     
                                
                                
                                
                                
                                
                                                                    
                                
                             
                                                    
                                                                    
                                
                                
«Maman m'appelait mon pigeon. Papa, mon sucre dans ses bons jours, Josiane dans les mauvais. Et André Miquette. Mon nom, c'est Bolbec.»
 
                                
                                     Ce texte figure également dans les éditions suivantes :
                                        
                                     
                                
                                
                                
                                
                                
                                                                            
                                            Personnage(s)
                                            
                                                -  3 homme(s)
                                                 -  1 femme(s)
                                                                                                                                                     -  1 chien
 
                                                                                            
                                         
                                    
                                                                            
                                    
                                                                            
                                    
                                                                            
                                    
                                    
                                 
                                                                    
                                
                             
                                                    
                                                                    
                                                                                
                                                                                L'Homme ailé
                                                                                    
                                                                                    
                                                 Texte original en anglais traduit  en français par
                                                                                                    
                                                                                             
                                                                                
                                     
                                
                                Une grotte. Très sombre. Daysi entre dans la grotte avec sa torche électrique. C'est une jeune lycéenne qui explore la grotte pour son cours de géologie. 
 
                                
                                
                                
                                
                                
                                                                    
                                
                             
                                                    
                                                                    
                                                                                
                                                                                Le ciel veut pas de toi
                                                                                    
                                                                                    
                                                 Texte original en anglais traduit  en français par
                                                                                                    
                                                                                             
                                                                                
                                     
                                
                                En temps de guerre. Un jardin sur une colline. Crépuscule. Un garçon debout face au soleil couchant, scrutant le ciel, à l'écoute. 
 
                                
                                
                                
                                
                                
                                                                            
                                            Personnage(s)
                                            
                                                -  2 homme(s)
                                                 -  1 femme(s)
                                                 -  3 enfant(s) et adolescent(s)
                                                                                                            
                                                            - 
                                                                2 fille(s) et adolescente(s)
                                                             - 
                                                                1 garçon(s) et adolescent(s)
                                                         
                                                                                                                                                                                                     
                                         
                                    
                                                                            
                                    
                                                                            
                                    
                                                                            
                                    
                                    
                                 
                                                                    
                                
                             
                                                    
                                                                    
                                                                                
                                                                                Adela
                                                                                    
                                                                                    
                                                 Texte original en espagnol traduit  en français par
                                                                                                    
                                                                                             
                                                                                
                                     
                                
                                Je n'ai jamais compris comment monsieur Carvé pouvait jeter ces choses... imaginez-vous, ouvrir les yeux et trouver ici  même, à la porte de la maison une boîte avec des vêtements presque neufs, pas très beaux mais presque pas portés...